EducPro, Hist. d'Univ. (8-9/11/16) : S Mayol suspendu "à tort" vs Salzmann en quête de chaise MàJ 14/11 : Monde Société (10/11/16)10/11/16)

Publié le par SLU Orléans

Suite du Post de Lundi, à (re)lire ICI

EducPro : IUT de Saint-Denis : Samuel Mayol suspendu "à tort"

Après trois ans de rebondissements, l'"affaire" de l'IUT de Saint-Denis pourrait bien toucher à sa fin. Le tribunal administratif de Montreuil a estimé infondée la suspension de Samuel Mayol de son poste de directeur de l'IUT, dans une décision rendue le 2 novembre 2016.

Suspendu "à tort". Dans une décision du 2 novembre 2016, le tribunal administratif de Montreuil annule les arrêtés de suspension pris par l'université Paris 13 à l'encontre du directeur de l'IUT de Saint-Denis. Suspendu de ses fonctions d'enseignement et de direction en novembre 2015, Samuel Mayol avait également fait l'objet d'une procédure disciplinaire engagée par Jean-Loup Salzmann, alors président de l'université francilienne. Lire la suite ICI

Histoires d'Universités : Salzmann en quête de chaise

Coup de tabac pour Jean-Loup Salzmann : point de chaise musicale pour lui après son mandat à la tête de la conférence des présidents d’université. Sa décision à l’automne 2015 de suspendre le directeur de l’IUT de Saint-Denis, Samuel Mayol, a été condamnée par la section disciplinaire de l’université de Bordeaux et par le tribunal administratif de Montreuil. Dès lors, que compte-t-il, que peut-il faire début 2017 ? Lire la suite ICI

MàJ 14/11 : Monde Société (10/11/16) : Le directeur de l’IUT de Saint-Denis suspendu à tort, selon la justice
Samuel Mayol avait été démis de ses fonctions en 2015 par la présidence de l’université Paris-XIII, après des accusations d’islamophobie.
C’est sans doute l’épilogue de la longue « affaire » qui a empoisonné l’institut universitaire de technologie (IUT) de Saint-Denis depuis 2013. Samuel Mayol, son directeur, vient de remporter l’ultime bataille dans une guerre sourde qui l’opposait à l’ancien président de l’université Paris-XIII, Jean-Loup Salzmann. Dans un jugement rendu le 2 novembre, le tribunal administratif de Montreuil a considéré qu’il avait été suspendu « à tort » par la présidence. Ce jugement du tribunal s’ajoute à la décision de la commission disciplinaire de l’université de Bordeaux (son cas avait été dépaysé) qui avait déjà blanchi, en juillet, le directeur accusé de « manipulation ­islamophobe » et de « conflit d’intérêts ». Lire la suite ICI
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article